GENRE
Musique de chambre avant-garde, électroacoustique, ambiant, drones éthérés, voix sacrées (On the Road)
Extrait/Excerpt
The Unquestioned Answer
Une piste en trois parties, un voyage cathartique, un paysage sonore subtile et envoûtant teinté d’envolées de violoncelle lyrique, de guitare basse sombre et de froissements statiques. C.J. Boyd, musicien bohème et poète des sons perdus et à venir, nous offre un deuxième album de son projet Kurva Choir, The Unquestioned Answer.
Musique de chambre avant-garde, électroacoustique, ambiant, drones éthérés, voix sacrées, The Unquestioned Answer, mixé par C.J. Boyd et Sandro Perri, explore le sublime, le transcendantal, le sacré, la douleur. L’album canalise le grand, le divin et l’auditeur sort de cette écoute purifié. Catherine_Baghdad 1929
A track in three parts, a cathartic journey, a subtle and haunting soundscape tinged with flights of lyrical cello, dark bass lines and creases of static. CJ Boyd, bohemian musician and poet of lost sounds and sounds to come, offers a second album from his project Kurva Choir, The Unquestioned Answer.
Combining avant-garde chamber music with electroacoustic, ambient, ethereal drones and sacred voices, The Unquestioned Answer, mixed by CJ Boyd and Sandro Perri, explores the sublime, the transcendent, the sacred, the pain. The album channels the great and the divine, and the listener comes out of this sonic voyage completely purified. Catherine_Baghdad 1929
Kurva Choir
Kurva Choir est une idée plus qu’un groupe en soi. Son nom étant inspiré du kirtan, une pratique indienne ancestrale dans laquelle les adeptes visent à atteindre l’extase par la répétition de noms sacrés, cet orchestre de chambre expérimental approche la musique avec un minimalisme qui se concentre à entendre quelque chose d’intangible plus grand que la somme de ses parties. Le groupe se réincarne quelques fois par année avec une instrumentation et un personnel légèrement différent. Toutefois, cette idée d’intimité, de simplicité sonique et cette volonté d’entendre l’ensemble, en effaçant la notion d’individualité, est toujours présente. C.J. Boyd_Baghdad 1929
The Kurva Choir is more of an idea than a “band”. Taking it’s name from the ancient Indian practice of kirtan, in which devotees seek to achieve a state of ecstasy through the repetition of sacred names, this experimental chamber orchestra approaches music with a minimalism that focuses on listening to something larger than the sum of it’s parts for inspiration. The group re-incarnates a couple times a year with slightly different instrumentation and personnel. But the idea of this intimate, sonic simplicity and egalitarian focus on listening to the whole rather than showcasing the individuals is ever consistent. C.J. Boyd_Baghdad 1929
Impressions
Dominos lunaire qui tombent du ciel pour émerveiller les enfants de l’astre polygone. Segments de mélancolie qui frappent les coeurs tendres. Le ciel nuageux laisse présager la pluie. L’orage n’est pas l’ombre d’elle-même mais plutôt une tornade d’émotions ensevelies par des myriades de fleurs éclatées. l’Espace ne s’arrête pas pour un désert larmoyant, ce sont seulement les hommes qui se reprochent leurs tords qui ont peur qui tendent leurs bras vers le ciel. Le temps avance et les arbres meurent, tu vois loin mais tu marches peu. L’explosion grisera ton âme pour te perdre dans tes plus effrois souvenirs d’enfance qui étaient jetés derrière tes pensées les plus sombres. Questionne ton état, le tourbillon céleste insensibilise ta foi. Tu tombes dans le néant, le vide amer de ton élévation. Tu ne m’adresses plus la parole et tu souris et tu me regardes d’un profond sommeil. Ouvre tes yeux car le soleil ne sera jamais aussi rosé et rempli de pureté, ton bonheur est le mien. Fait en sorte de le garder et de l’aimer jusqu’à ton dernier souffle.
Grâce au ciel, tu es sain et sauf. Chittakone_Baghdad 1929
Moon dominos falling from the sky, the children of the polygon constellation are amazed. Segments of melancholy that strike the bleeding hearts. The cloudy sky portends rain. The storm is not a shadow in itself, but rather a whirlwind of emotions buried by myriads of exploding flowers. Space doesn’t stop to weep for a desert, it is only men who are afraid and tend their arms toward the sky. Time passes and the trees die, you see far away but you walk little. The explosion will intoxicate your soul, you will lose yourself in your childhood memories, those that were thrown behind your darkest thoughts. Question your state, the celestial vortex will anaesthetize your faith. You fall into nothingness, emptiness bitter of your elevation. You don’t talk to me anymore and you smile and you look at me from a deep sleep. Open your eyes because the sun will never be as pinkish and full of purity, your happiness is mine. Make sure to keep it and love it until your last breath.
Thanks heaven, you’re safe and sound. Chittakone_Baghdad 1929